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– Les centrales hydroélectriques

Composante essentielle du Plan d’Accélération de la Transformation (PAT) fixé par le Président de la République, les nouvelles centrales hydroélectriques vont permettre de réduire le prix de l’offre énergétique et de contribuer au développement économique du Gabon.
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D’ici 2025, le Gabon veut porter sa puissance électrique installée à 1280 MW contre 725 MW actuellement. Pour atteindre son objectif, le pays compte s’appuyer, entre autres ressources renouvelables, sur son important potentiel hydroélectrique.
La centrale hydroélectrique de Kinguélé Aval
Gabon Power Company (GPC), filiale du Fonds Gabonais d’Investissements Stratégiques (FGIS), et Meridiam, société à mission spécialisée dans le développement, le financement et la gestion à long terme d’infrastructures publiques durables, ont signé un accord pour le financement de la centrale hydroélectrique de Kinguélé Aval.
Située à 100 km à l’est de Libreville sur la rivière Mbéi, en bordure du Parc National des Monts de Cristal, la nouvelle installation disposera d’une capacité de 34.1 MW et permettra à terme d’alimenter le réseau national à hauteur de 203 GWh par an. La centrale hydroélectrique fournira environ 13% des besoins en électricité de Libreville, la capitale du Gabon. Elle contribuera au remplacement de capacités thermiques existantes et permettra d’économiser plus de 90 000 tonnes d’émissions de CO2 par an. Elle participera également à l’électrification des zones rurales telles qu’Andock Foula, contribuant à l’inclusion sociale au Gabon.
Les achats d’équipements et de matériels nécessaires à la construction auprès d’entreprises gabonaises seront privilégiés, soutenant ainsi la diversification, le développement et la relance économique du pays. Pendant la période de construction, 800 emplois directs seront créés sur le chantier et, pendant la phase d’exploitation, vingt professionnels gabonais seront responsables de l’exploitation de la centrale hydroélectrique. Sa mise en service est prévue pour la fin 2024.
Le montant total de l’investissement nécessaire pour la construction du barrage s’élève à 179 millions d’euros dans le cadre d’une convention de concession conclue pour une durée de 30 ans. Kinguélé Aval est porté par Asonha Énergie, une société de projet détenue respectivement à 60% et 40% par Meridiam et GPC, et bénéficie de l’appui financier de plusieurs bailleurs de fonds de premier plan : IFC, filiale de la Banque mondiale dédiée au secteur privé, la Banque Africaine de Développement, la Development Bank of Southern Africa et Emerging Africa Infrastructure Fund.
L’Agence multilatérale de garantie des investissements (Miga), filiale du Groupe de la Banque mondiale, a rejoint en mars 2022 Asonha Energie SA, pour la construction et l’exploitation de la centrale hydroélectrique Kinguélé Aval. Cette centrale hydroélectrique qui sera développée et dirigée par le secteur privé avec le soutien de la Miga coûtera 179 millions d’euros.
Le premier projet IPP du Gabon met en évidence un moyen commercialement viable de générer de l’énergie propre qui évitera plus de 90 000 tonnes d’émissions de CO2 par an.
Ce partenariat public-privé innovant constitue un pas en avant significatif pour redonner à la Société d’Énergie et d’Eau du Gabon (SEEG), la possibilité de couvrir l’ensemble des besoins énergétiques du réseau interconnecté de la province de l’Estuaire.
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La centrale hydroélectrique de Ngoulmendjim
Le groupe industriel Eranove et le Fonds gabonais d’investissements stratégiques (FGIS) ont signé un mandat pour la levée de 400 millions d’euros. Ce financement permettra la construction du barrage et la centrale hydroélectrique de Ngoulmendjim de 83 MW.
Ce projet de centrale hydroélectrique répond aux meilleurs standards internationaux dans les domaines environnementaux, sociaux et sociétaux, comme l’a confirmé l’évaluation indépendante menée avec l’outil ESG (critères environnementaux, sociaux et de gouvernance) de l’Association internationale d’hydroélectricité (IHA).
Le projet hydroélectrique de Ngoulmendjim est mis en œuvre à travers Asokh Energy. L’entreprise à finalité spécifique est détenue à 60% par Eranove et par Gabon Power Company (GPC), la filiale du FGIS (40%). Asokh Energy assurera la construction d’un barrage sur la rivière Nkomo, dans la province de l’Estuaire, à 125 km de la capitale gabonaise Libreville. L’installation affichera une hauteur maximale de 38,5 mètres sur fondation, avec une largeur en crête de 635 mètres.
Le barrage formera un réservoir sur une superficie d’au moins 30 km2. L’imposante structure sera équipée d’une centrale hydroélectrique capable de délivrer une puissance de 83 MW avec une production annuelle équivalente à 550 GWh grâce à trois turbines Pelton. L’électricité ainsi produite sera évacuée via une ligne de 225 kV d’environ 135 km.
Selon les prévisions du consortium, la ligne sera formée d’une section de Ngoulmendjim vers un poste d’interconnexion de 225 kV à créer à Kinguélé Aval. L’autre section partira de Kinguélé Aval vers un poste d’interconnexion de 225/90 kV dans la localité de Ntoum, dont le tracé suivra les lignes existantes de 225 et 90 kV en provenance de Kinguélé et Tchimbélé. L’électricité produite alimentera plusieurs parties du Gabon, notamment Libreville où se concentre la moitié de la population gabonaise.
La centrale hydroélectrique de Dibwangui, établie sur la rivière Louetsi, à 152 kilomètres de Mouila (capitale régionale de la Ngounié), au sud-ouest du Gabon, pourra alimenter 88 000 habitants. La société gabonaise LOUETSI Hydro a été créée par le Fonds gabonais d’investissements stratégiques (FGIS) et ERANOVE pour préparer et réaliser, dans le cadre d’une concession avec la République gabonaise, la conception, le financement, la construction et l’exploitation des centrales hydroélectriques de Ngoulmendjim et Dibwangui. La centrale de 15 mégawatts alimentera la région sud-ouest du pays et soutiendra les communautés locales actuellement sans électricité. Situé dans la province de la Ngounié, le projet hydroélectrique de Dibwangui est classé comme un exemple de bonnes pratiques internationales en matière de conception et de planification durables.
Les centrales hydroélectriques de l’Impératrice Eugénie et du FE2 étaient à l’arrêt depuis plusieurs années. Les travaux de construction pourraient bientôt redémarrer. Un accord tripartite entre l’Etat gabonais et les entreprises Coder et CGGC, chargées de financer et matérialiser ce projet, a été signé le 15 mars 2022 à Libreville. A travers cet accord, la Compagnie de développement des énergies renouvelables (Coder) s’engage à mettre à la disposition de la CGGC (China Gezhouba groupe corporation), les fonds nécessaires pour réaliser ces infrastructures. La société Coder les exploitera ensuite pendant une trentaine d’années, selon la durée de la concession.
Le redémarrage du projet de construction de ces centrales était attendu depuis plusieurs années au Gabon. La construction des deux centrales hydroélectriques va accroître l’offre énergétique du Gabon avec une capacité de 88 MW pour la centrale de l’Impératrice Eugénie et 36 MW pour celle de FE2. Celle qui est construite au niveau des chutes FE2 sur la rivière Okano va permettre d’améliorer l’électrification de la région du Woleu Ntem avec une interconnexion au réseau électrique de Libreville. La centrale de l’Impératrice Eugénie, quant à elle, va alimenter en énergie les principaux pôles industriels et les localités situées sur l’axe Fougamou-Lambaréné-Libreville.
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